Poison libéral et antidote orthodoxe
J'ai écrit un article sur la potentielle disparition de ce que les gens de l’Église Protestante Unie de France (EPUdF) osent appeler le "protestantisme luthéro-réformé" - comme s'ils étaient protestants et qu'ils avaient un quelconque lien avec un Luther ou un Calvin, eux qui sont plutôt les rejetons des Prophètes célestes et des libertins spirituels.
Je confirme que cette communauté, qu'ils appellent orgueilleusement "Église" et que leur ami le pape de Rome appelle plus modestement (mais avec encore trop de commisération) une "communauté ecclésiale" (c'est, en réalité, un simple club!), est essentiellement un repaire de rationalistes politisés, mêlés à des promoteurs d'une nouvelle forme de mysticisme charismatique - voire de développement personnel.
Cependant, pour qu'on ne m'accuse pas d'être cynique et de ne pas vouloir aider d'éventuels chrétiens en péril, je souhaite réitérer ici les grandes lignes nécessaires au redressement de la situation:
Série de réflexions sur une communion orthodoxe
Et puisque les gens de l'EPUdF se croient Réformés, j'ajoute un petit appendice destiné à souligner l'adéquation de cette ligne avec l'héritage Réformé: ici.
Bucerian
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