Considérations sur les Saints Sacrements
En quelle manière faut-il parler des Sacrements aux fidèles? Quelle(s) doctrine(s) est (ou sont) inacceptable(s)? Jusqu'où peut on tolérer les imperfections des uns et/ou des autres en exposant la doctrine touchant ce point? Pour transposer les paroles de la confession d'Augsbourg (art. 13), je dois dire que selon moi, on ne parle bien des sacrements que quand on le fait pour éveiller et affermir la foi des fidèles. Et cela n'a rien d'un sentimentalisme, d'un relativisme ou d'un quelconque pluralisme, car cela s'appui sur l'exemple des Ecritures Saintes, en lesquelles les saints Apôtres ne donnent pas de cours magistraux sur les Sacrements, en faisant ensuite passer un examen aux fidèles (et exiger qu'ils aient la moyenne, voir la mention). Au contraire, ils ne traitent des sacrements qu'en passant, afin de rappeller aux fidèles les grands bienfaits qu'ils ont, par la foi, en Jésus Christ, quelles sont les exigences de leur vocation, etc; Dès