Covid-19 et repentance (3)

Faire preuve de douceur et de compréhension envers chacun ne doit pas nous dispenser de déplorer la folie naturellement commune à tous. Et nous sommes vraiment fous --du moins devons-nous l'être!-- pour faire preuve d'une telle lenteur (que dis-je? D'un tel mépris!) à l'égard de la Parole de Dieu. 
De cela aussi (de cela d'abord!) nous devons nous repentir.

1) En France, des dizaines millions de personnes ont été baptisées et, même si la culture catholique romaine n'y aide sans doute pas beaucoup, un grand nombre de ces personnes possède la Bible. 

Tous, en tout cas, y ont librement accès (Dieu soit loué!), car on trouve la Bible dans les bibliothèques publiques, sur internet, ou par des associations qui la diffusent gratuitement, etc.
Mais combien, parmi ces gens, ont-ils lu ne serait-ce qu'un seul Évangile? Combien ont sérieusement pensé le faire, pour réfléchir à leur vie, à leur âme, à leur condition? 

Le président a recommandé de profiter du confinement pour lire: il serait peut-être temps de lire ce fameux Évangile, source de tant de bienfaits et, peut-être, source de votre éternel Salut.
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2) Parmi les croyants, parmi les chrétiens "pratiquants", combien est-on à négliger de lire quotidiennement les Écritures saintes? Et quand on le fait, combien tarde-t-on à croire et à s'appliquer tout leur propos!
Elles sont pourtant le pain quotidien (Matthieu 4: 4) que nous devons chercher avant toute autre chose, car par Sa Parole Dieu apporte la guérison (Psaume 107: 20)!
Le danger, pour ceux qui ont cru un jour, est de finir comme les vierges folles, dans la parabole du Seigneur: de veiller un temps, pour finalement s'endormir peu avant sa venue.

Comme l'affirmait un théologien de l'antiquité: Ignorer les Écritures, c'est ignorer le Christ. Puissent tous les baptisés connaître le Seigneur, et le connaître toujours mieux! Il n'est pas trop tard, aujourd'hui, pour cela. Il ne sera peut-être pas possible d'en dire autant demain. Alors:
Cherchez l’Éternel pendant qu'il se trouve, invoquez-le tandis qu'il est près (Ésaïe 55: 6).


A suivre...

Bucerian

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