Du papisme et de la rémission des péchés (3)
Certes, le pape François œuvre à ensevelir l'Evangile, pour établir à sa place des pactes politiques. Il n'est plus question d'aller faire toutes les nations des disciples (Matthieu 28. 19): à quoi cela servirait-il aux partenaires politiques du pape, qui sont réputés enfants de Dieu sans (et contre) le Christ (cf. Jean 1. 12)? A quoi leur servirait la Grâce, puisqu'ils ont le libre arbitre et les œuvres surérogatoires, ou hassanats, pour s'ouvrir les portes du ciel?...
C'est pourquoi les sectateurs de Rome veillent au grain, mais sur un tout autre sujet. Ensemble avec le plus-pape Benoît et le pas-encore-pape Sarah, ils ne veulent s'assurer que d'une chose: c'est que l'actuel pape François ne perde pas la foi sur l'article capital de toute leur religion réprouvée: le célibat des prêtres.
Puisque les apôtres demandent que le ministre soit marié à une seule femme, et puisque les mauvais doivent lutter contre le mariage comme s'il s'agissait d'un état indigne des hommes de Dieu (1Timothée 4. 3), il faut bien que le Nimrod qui hante la ville aux sept collines montre de qui il est le fils et le vicaire, en conservant infailliblement ce dogme impie.
Bucerian
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