Là où mène l'idolatrie...




Nous avions déjà abordé le thème du véganisme [nouveau caprice de bobos-gâtés (ou gâteux?)] et de ses paradigmes insensés. Les dernières nouvelles nous indiquent à quel point l'idolâtrie peut conduire hors des sentiers de la raison:

Gérone : un collectif végan (antispéciste, transféministe et libertaire - sic) sépare les poules des coqs pour éviter les "viols".

Puisse le Seigneur délivrer les âmes captives de ces ténèbres et les ramener à la vie par la Lumière de Jésus-Christ, son Fils unique notre Seigneur !

Amen.



Commentaires

Domus a dit…
Tout ça, c’est la faute à Noé ! Au lieu de prendre dans son arche un coq et une poule, il aurait été mieux inspiré de faire monter à bord des cocottes en papier. Outre qu’elles n’auraient pas eu le mal de mer, elles n’auraient pas eu non plus de descendance et le problème des poules de ces dames véganes ne se serait jamais posé.
Mais voilà, c’est Dieu qui a ordonné à Noé qu’un vrai coq et une vraie poule, de chair et de plumes, devaient être de la croisière (Ge. 6, 19-20). Ce détail, qui n’en est pas un car c’est un fait historique véridique de la plus haute importance, a dû échapper à ces dames et c’est vraiment dommage.
Cela dit, au point de déraison où elles en sont arrivées, l’expérience des cocottes en papier pourrait, me semble-t-il, être quand même tentée car quelque chose me dit qu’en tout état de cause ce subterfuge n’aurait pas son pareil pour calmer les ardeurs de ces gallinacés mâles très entreprenants.

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