Du pape et de ses mensonges


Revenant des Journées Mondiales de la Jeunesse (sorte de congrès des jeunesses de son parti), Jorge Begoglio, chef de la pègre vaticane, a été interrogé sur le djihad. Il a alors fait la démonstration de ses talents de jésuite pour amalgamer (en collaboration avec les médias non chrétiens!)  le visage du Christisanisme avec celui du mahométanisme:

  «Je n'aime pas parler de violence islamique, parce qu'en feuilletant les journaux je vois tous les jours que des violences, même en Italie: celui-là qui tue sa fiancée, tel autre qui tue sa belle-mère, et un autre… et ce sont des catholiques baptisés! Ce sont des catholiques violents. Si je parle de violence islamique, je dois parler de violence catholique. Non, les musulmans ne sont pas tous violents, les catholiques ne sont pas tous violents. C'est comme dans la macédoine, il y a de tout… Il y a des violents de cette religion…»

Il convient de noter le glissement sémantique par lequel Bergoglio tente de transsubstantier des crimes de droit commun - relevant effectivement d'actes isolés - en attentats terroristes: un homme a tué quelqu'un pour lui dérober son argent; cet homme était baptisé; donc, (selon Bergoglio) ce crime est du même ordre (et entretient un même rapport avec la religion de l'auteur) que celui des groupes islamiques décidés à massacrer impitoyablement leur prochain, au nom et pour la gloire d'Allah.

Qui avalera une telle énormité?...

Bucerian

Commentaires

Olivier a dit…
Oui beaucoup de catholiques ont été choqué.

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