Annotations sur le Credo (13)
"Pour nous, les hommes..."
A en croire le discours que des lois étatiques imposent comme "vérité scientifique", vous et moi ne serions que des amas cellulaires que le hasard (dont ils prétendent également avoir démontré l'existence) aurait mené du stade de méduse à celui d’humanoïde, en passant par un hideux batracien.
Oui, aujourd'hui dans nos pays (comme jadis, ailleurs, avec le marxisme) un discours philosophique totalisant revendique le statut de science; il en revendique même le monopole!
Mais, comment se fier à des fanatiques que l'absence de fossiles a poussé à se convertir de l'axiome suivant lequel la nature ne fait pas de saut (Darwin) au dogme contraire (Gould)?
Aussi est-il plus sage de se fier à la Parole de Dieu, dans les sentiers de laquelle nous ne tomberons jamais sur un os (si j'ose dire), et qui enseigne que l'homme, créé mâle et femelle (n'en déplaise à certains autres propagandistes...) n'est pas un accident mais la création délibérée d'un Dieu sage et tout-puissant.
- Puis Dieu dit: Faisons l'homme à notre image, selon notre ressemblance, et qu'il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre, et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.
- Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme.
- Dieu les bénit, et Dieu leur dit: Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre, et l'assujettissez; et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, et sur tout animal qui se meut sur la terre (Genèse 1, 26-28).
De là,il ressort au moins deux conséquences pour nos vies.
1) Dans notre rapport à Dieu.
Pourquoi, pour quoi, ou plutôt: pour qui vivons-nous? Quels sont les critères d'une vie réussie?
Sur son lit de mort, l'homme sera-t-il sage de se réconforter en considérant qu'il a eu une montre de luxe à cinquante ans? Est-ce là le but de la vie?... la vie d'un macaque, peut-être, mais pas la vie d'une âme raisonnable (Matthieu 10, 28)!
C'est pour Dieu, pour la gloire de Dieu que nous devons vivre.
Pourquoi, pour quoi, ou plutôt: pour qui vivons-nous? Quels sont les critères d'une vie réussie?
Sur son lit de mort, l'homme sera-t-il sage de se réconforter en considérant qu'il a eu une montre de luxe à cinquante ans? Est-ce là le but de la vie?... la vie d'un macaque, peut-être, mais pas la vie d'une âme raisonnable (Matthieu 10, 28)!
C'est pour Dieu, pour la gloire de Dieu que nous devons vivre.
2) Dans notre rapport à autrui.
Un couple est sorti des mains du créateur; et de ce couple, tous les hommes. Nous sommes tous frères, tous cousins et, plutôt que de l'émerveillement, plutôt que de l'amour, c'est de la haine que se vouent les hommes entre eux.
Au siècle des Lumières en particulier, certains esprits ont cru écarter cette vérité scripturaire par des moqueries tellement abominables qu'elles tournent aujourd'hui à leur honte.
Pourquoi tout ce mal? En attendant d'en dire quelques mots, au cours de la prochaine annotation, il nous suffira de conclure ici en disant que l'homme, contrairement à ce que prétendent les romans anthropologiques aussi insipides que pompeux, ce n'est pas un animal qui aurait été soumis à la corruption longtemps avant d'avoir acquis une conscience morale; c'est, au contraire, cette créature d'abord intègre et portant l'image de Dieu: Adam.
De sorte que tout indice (réel ou allégué) d'humanoïde diminué ne doit pas être interprété comme signe d'une évolution allant de l'animal vers l'humain, mais plutôt comme la terrifiante perspective d'une dégénérescence catastrophique due, non pas au cours normal des choses, mais à la Chute et aux diverses monstruosités qui en ont suivi, pour des raisons dont nous ignorons parfois tout (cf. Genèse 6).
Bucerian
Un couple est sorti des mains du créateur; et de ce couple, tous les hommes. Nous sommes tous frères, tous cousins et, plutôt que de l'émerveillement, plutôt que de l'amour, c'est de la haine que se vouent les hommes entre eux.
Au siècle des Lumières en particulier, certains esprits ont cru écarter cette vérité scripturaire par des moqueries tellement abominables qu'elles tournent aujourd'hui à leur honte.
Pourquoi tout ce mal? En attendant d'en dire quelques mots, au cours de la prochaine annotation, il nous suffira de conclure ici en disant que l'homme, contrairement à ce que prétendent les romans anthropologiques aussi insipides que pompeux, ce n'est pas un animal qui aurait été soumis à la corruption longtemps avant d'avoir acquis une conscience morale; c'est, au contraire, cette créature d'abord intègre et portant l'image de Dieu: Adam.
De sorte que tout indice (réel ou allégué) d'humanoïde diminué ne doit pas être interprété comme signe d'une évolution allant de l'animal vers l'humain, mais plutôt comme la terrifiante perspective d'une dégénérescence catastrophique due, non pas au cours normal des choses, mais à la Chute et aux diverses monstruosités qui en ont suivi, pour des raisons dont nous ignorons parfois tout (cf. Genèse 6).
Bucerian
Commentaires