En quelle année sommes nous?
Jésus de Nazareth, charpentier ayant traversé l'aventure humaine à la vitesse d'une météorite (à peine trois ans de prédication!) est au centre de l'Histoire des hommes. Ceci est tellement vrai que toute notre Histoire gravite autour de Lui.
Vous en doutez?
Alors, demandez-vous en quelle année nous sommes, et en référence à quoi (ou plutot: à qui) cette année se déduit?
Et même, demandez vous en quelle époque a vécu Aristote?
384-322... av. Jésus Christ?
Bien. Vous ne pouvez plus le nier, maintenant: Jésus de Nazareth est au centre de l'Histoire de notre race, en plein milieu, comme le nez au milieu du visage. Inutile, donc, de chercher à jouer les autruches.
Comme de tout homme (et comme ce Maître du temps des hommes vous invite à le faire), demandez vous plutot: qui est-il?
C'est important de savoir! Et ne dites pas "je ne sais pas", car nous savons tous qu'au plus profond de nous, qu'on se l'avoue ou pas, nous avons tous notre conviction.
Estimez-vous donc qu'il n'a été qu'un illuminé, ou un grand humaniste? Un visionnaire, martyr de ses convictions?
C'est le genre d'idées qu'avait la majorité des gens de son époque, comme en témoigne la Bible:
13 Et Jésus, étant arrivé dans le territoire de Césarée de Philippe, interrogeait ses disciples, disant: Qui disent les hommes que je suis, moi, le Fils de l'homme?
14 Et ils répondirent: Les uns disent que tu es Jean-Baptiste; les autres, Élie; et les autres, Jérémie, ou l'un des prophètes.
[Matthieu 16]
Face à ces opinions, il y a une conviction, celle de l'Eglise chrétienne. Cette certitude, c'est que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, selon qu'il est écrit:
15 Il leur dit: Et vous, qui dites-vous que je suis?
16 Simon Pierre, prenant la parole, dit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Or, selon Jésus, c'est cette affirmation qui est la seule juste. Cette confession, dit-il, ne vient pas de l'homme; ce n'est pas l'être humain qui peut la concevoir et la tenir pour vraie, mais bien Dieu:
17 Et Jésus lui répondit: tu es heureux, Simon, fils de Jona; car ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux.
Et Jésus de poursuivre:
18 Et moi, je te dis aussi que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.
19 Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux; et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux; et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux.
Alors là, il n'y a pas beaucoup de solutions:
ou bien Jésus était un imposteur (le plus grand de toute l'Histoire!), ou bien il est effectivement Jésus (= le sauveur), le Christ (= homme qui a été oint), le Fils de Dieu (= Dieu né de Dieu).
Beaucoup de gens nient que Dieu soit ainsi devenu homme (Emmanuel = Dieu avec nous! -- Matthieu 1. 23) et soit notre seul sauveur.
Ils rejetent cet amour, la possibilité d'un tel amour, sa réalité...
Qui d'autre qu'un fou pourrait venir dans le monde pour mourir sur une croix pour le salut des hommes?
Dieu!
Si vous restez durs et froids comme de la pierre devant le Christ --que vous ne pourrez pas nier avoir connu--, restez donc devant votre destin: la mort et l'incertitude, la conscience rongée à jamais par votre état.
Mais sachez, chers amis, que cette Personne et son oeuvre ne sont le fait ni d'un fou, ni d'un escroc; il est bien celui que l'Eglise tout entière confesse d'une seule bouche et ce sur quoi elle se tient debout, triomphant de l'esprit du monde et de la mort.
Il est venu payer pour nos fautes, subir à notre place la sentence que méritait notre péché et même: tous nos péchés!
Mettez votre confiance dans le Fils de Dieu fait homme, mort et ressuscité pour vous: voici, votre conscience sera libre à jamais!
...Vous pouvez aussi prendre la décision que tout cela n'est qu'une histoire à dormir debout, une utopie, que l'amour du Christ ne correspond à rien en Dieu (dans le cas où il existerait...):
Faites donc, mais vous et moi, nous savons que vous avez lu ces lignes et qu'il est ainsi trop tard pour échapper au doute rongeant à jamais votre conscience.
Vous en doutez?
Alors, demandez-vous en quelle année nous sommes, et en référence à quoi (ou plutot: à qui) cette année se déduit?
Et même, demandez vous en quelle époque a vécu Aristote?
384-322... av. Jésus Christ?
Bien. Vous ne pouvez plus le nier, maintenant: Jésus de Nazareth est au centre de l'Histoire de notre race, en plein milieu, comme le nez au milieu du visage. Inutile, donc, de chercher à jouer les autruches.
Comme de tout homme (et comme ce Maître du temps des hommes vous invite à le faire), demandez vous plutot: qui est-il?
C'est important de savoir! Et ne dites pas "je ne sais pas", car nous savons tous qu'au plus profond de nous, qu'on se l'avoue ou pas, nous avons tous notre conviction.
Estimez-vous donc qu'il n'a été qu'un illuminé, ou un grand humaniste? Un visionnaire, martyr de ses convictions?
C'est le genre d'idées qu'avait la majorité des gens de son époque, comme en témoigne la Bible:
13 Et Jésus, étant arrivé dans le territoire de Césarée de Philippe, interrogeait ses disciples, disant: Qui disent les hommes que je suis, moi, le Fils de l'homme?
14 Et ils répondirent: Les uns disent que tu es Jean-Baptiste; les autres, Élie; et les autres, Jérémie, ou l'un des prophètes.
[Matthieu 16]
Face à ces opinions, il y a une conviction, celle de l'Eglise chrétienne. Cette certitude, c'est que Jésus est le Christ, le Fils du Dieu vivant, selon qu'il est écrit:
15 Il leur dit: Et vous, qui dites-vous que je suis?
16 Simon Pierre, prenant la parole, dit: Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant.
Or, selon Jésus, c'est cette affirmation qui est la seule juste. Cette confession, dit-il, ne vient pas de l'homme; ce n'est pas l'être humain qui peut la concevoir et la tenir pour vraie, mais bien Dieu:
17 Et Jésus lui répondit: tu es heureux, Simon, fils de Jona; car ce n'est pas la chair et le sang qui t'ont révélé cela, mais mon Père qui est dans les cieux.
Et Jésus de poursuivre:
18 Et moi, je te dis aussi que tu es Pierre, et que sur cette pierre je bâtirai mon Église, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.
19 Et je te donnerai les clefs du royaume des cieux; et tout ce que tu lieras sur la terre sera lié dans les cieux; et tout ce que tu délieras sur la terre sera délié dans les cieux.
Alors là, il n'y a pas beaucoup de solutions:
ou bien Jésus était un imposteur (le plus grand de toute l'Histoire!), ou bien il est effectivement Jésus (= le sauveur), le Christ (= homme qui a été oint), le Fils de Dieu (= Dieu né de Dieu).
Beaucoup de gens nient que Dieu soit ainsi devenu homme (Emmanuel = Dieu avec nous! -- Matthieu 1. 23) et soit notre seul sauveur.
Ils rejetent cet amour, la possibilité d'un tel amour, sa réalité...
Qui d'autre qu'un fou pourrait venir dans le monde pour mourir sur une croix pour le salut des hommes?
Dieu!
Si vous restez durs et froids comme de la pierre devant le Christ --que vous ne pourrez pas nier avoir connu--, restez donc devant votre destin: la mort et l'incertitude, la conscience rongée à jamais par votre état.
Mais sachez, chers amis, que cette Personne et son oeuvre ne sont le fait ni d'un fou, ni d'un escroc; il est bien celui que l'Eglise tout entière confesse d'une seule bouche et ce sur quoi elle se tient debout, triomphant de l'esprit du monde et de la mort.
Il est venu payer pour nos fautes, subir à notre place la sentence que méritait notre péché et même: tous nos péchés!
Mettez votre confiance dans le Fils de Dieu fait homme, mort et ressuscité pour vous: voici, votre conscience sera libre à jamais!
...Vous pouvez aussi prendre la décision que tout cela n'est qu'une histoire à dormir debout, une utopie, que l'amour du Christ ne correspond à rien en Dieu (dans le cas où il existerait...):
Faites donc, mais vous et moi, nous savons que vous avez lu ces lignes et qu'il est ainsi trop tard pour échapper au doute rongeant à jamais votre conscience.
AUGUSTINUS
