Adorateurs d'un caillou
Il m'est souvent arrivé de discuter avec des disciples de Mahomet, persuadés que "les chrétiens" (pas Jésus et ses apôtres, que les mahométanistes font semblant de respecter) étaient dans l'idolâtrie en rendant un culte au Seigneur Jésus.
Évidemment, il suffit de répondre que si "les chrétiens" croient quelque chose, c'est parce que ce quelque chose leur a été donné de croire... par Jésus et les apôtres. Les chrétiens n'ont fait qu'adhérer au christianisme, ils ne l'ont pas constitué. Que l'hostilité islamique contre le christianisme est donc bien une hostilité envers Jésus et ses apôtres (1Corinthiens 15: 1-11).
Mais puisque cette règle de causalité, pourtant simple et logique, semble systématiquement se heurter à un déni aveugle, il convient de renvoyer les adeptes de Mahomet à leur pratique.
NB: Je ne serai sans doute pas le premier à faire cette remarque, mais elle
est si importante qu'elle mérite d'être faite, répétée et relayée
presque quotidiennement.
Le fait est que les mahométanistes se prosternent cinq fois par jour en direction de la kaaba, dans le mur de laquelle est enchâssée une pierre noire, réputée tombée du ciel.
Avec cette prière, l'un des cinq piliers de la religion imaginée par Mahomet consiste à se rendre en pèlerinage à la Mecque, pour tourner autour de cette kaaba et embrasser la pierre noire (au risque de mourir piétiné par la foule, comme cela est déjà arrivé).
Les disciples de Mahomet utiliseront toutes les astuces qu'ils voudront pour tenter de s'excuser de pratiquer ce culte idolâtre d'un caillou: le fait demeure qu'ils rendent un culte idolâtre à un caillou, sur l'exemple, disent-ils, de leur prétendu prophète.
Nous savons tous que si l’Église chrétienne avait pour centre spirituel une météorite, AUCUN des arguments spécieux par lesquels les mahométanistes tentent vainement de se justifier ne permettrait de lever l'accusation d'idolâtrie, et qu'ils condamneraient cela avec la plus grande vigueur et indignation.
Aussi ne peuvent-ils rester dans ces filets d'iniquité que par partialité, aveuglement volontaire et goût de la calomnie gratuite contre la pierre vivante sur laquelle est bâtie l’Église, c'est-à-dire Jésus-Christ, auquel ils ont préféré un vulgaire caillou qui ne voit ni n'entend, et qui reçoit indûment la prosternation - et parfois: le sacrifice suprême! - des millions d'idolâtres qu'ils sont, à l'image de leur faux prophète.
Bucerian
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