S'ils sont encore là pour en parler, c'est qu'ils mentent
Il n’y a qu’un problème philosophique vraiment sérieux : c’est le suicide.
A. Camus
A. Camus
On entend souvent les athées matérialistes se glorifier d'être assez forts et rationnels pour pouvoir se passer de Dieu. On voit moins la force de leur raison, quand il s'agit de froidement tirer les conséquences de leurs paradigmes.
Car, quel être moindrement sensé, réalisant qu'il n'est qu'un accident dans un univers de chaos, de souffrances et de mort, estimerait devoir y rester un seul instant?...
Ou quel joueur d'échecs, suffisamment avisé pour savoir qu'il sera inévitablement fait "mat" dans trois coups, n'abandonnerait pas simplement la partie?...
L'athée affirme être dans un tel univers; l'athée dispute cette partie, et il est en définitive le seul être assez faible et irrationnel pour ne pas oser mettre un terme à sa condition.
Certes, en bon dualiste, Siddhārtha Gautama avait bien cherché le nirvana (l'anéantissement) pour son âme. Mais pour un matérialiste, le nirvana ne saurait porter d'autre nom que celui de ''cimetière''.
Étrangement, pas un seul d'entre eux ne voudrait y aller, même si quelques-uns (Hégésias de Cyrène) l'ont volontiers préconisé pour "les autres" -- c'est-à-dire: ceux qui n'avaient pas goûté, comme eux, à leur grande sagesse apparaissant dans leur discours comme un deus ex machina (un comble pour des athées!) destiné à sauver les apparences...
Il est donc bien évident que le seul fait qu'ils restent parmi nous pour prêcher l'athéisme, prouve: ou bien que les athées savent que leur vision du monde est fausse, ou bien qu'ils ne sont pas les héros émancipés de la peur qu'ils prétendent être (en fait, c'est sans doute les deux à la fois!). Et dans tous les cas, les athées ne sont que des menteurs.
Maintenant, donc, à la question de savoir pourquoi nous vivons, la réponse est: pour connaître et glorifier le Dieu Très Saint, notre Créateur et Sauveur en Jésus-Christ.
Bucerian
Car, quel être moindrement sensé, réalisant qu'il n'est qu'un accident dans un univers de chaos, de souffrances et de mort, estimerait devoir y rester un seul instant?...
Ou quel joueur d'échecs, suffisamment avisé pour savoir qu'il sera inévitablement fait "mat" dans trois coups, n'abandonnerait pas simplement la partie?...
L'athée affirme être dans un tel univers; l'athée dispute cette partie, et il est en définitive le seul être assez faible et irrationnel pour ne pas oser mettre un terme à sa condition.
Certes, en bon dualiste, Siddhārtha Gautama avait bien cherché le nirvana (l'anéantissement) pour son âme. Mais pour un matérialiste, le nirvana ne saurait porter d'autre nom que celui de ''cimetière''.
Étrangement, pas un seul d'entre eux ne voudrait y aller, même si quelques-uns (Hégésias de Cyrène) l'ont volontiers préconisé pour "les autres" -- c'est-à-dire: ceux qui n'avaient pas goûté, comme eux, à leur grande sagesse apparaissant dans leur discours comme un deus ex machina (un comble pour des athées!) destiné à sauver les apparences...
Il est donc bien évident que le seul fait qu'ils restent parmi nous pour prêcher l'athéisme, prouve: ou bien que les athées savent que leur vision du monde est fausse, ou bien qu'ils ne sont pas les héros émancipés de la peur qu'ils prétendent être (en fait, c'est sans doute les deux à la fois!). Et dans tous les cas, les athées ne sont que des menteurs.
Maintenant, donc, à la question de savoir pourquoi nous vivons, la réponse est: pour connaître et glorifier le Dieu Très Saint, notre Créateur et Sauveur en Jésus-Christ.
Bucerian
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