Ils ne pourront pas dire qu'ils ne savaient pas
Le 26 janvier, la première pseudordination de femme évêque a eu lieu dans la communauté ecclésiale anglaise. Un homme s'est alors courageusement exprimé en public pour dénoncer cette imposture, en vertu de l'autorité des saintes Écritures:
Le courageux héraut de la vérité a expliqué les raisons de son objection, soulignant que, dans l’Église d'Angleterre, lorsqu'un prêtre est installé dans l'épiscopat, on lui donne une Bible en symbole d'autorité.
Mais quelle autorité peut avoir le pseudo nouvel évêque, alors que dans la Bible ne cautionne aucunement cette ordination (1 Timothée 3, 1-2)?
Les renégats lui ont objecté (comme les apostats l'ont fait dans l’Église Évangélique Réformée du canton de Vaud, au sujet des bénédictions homosexuelles) que le synode et le Parlement avaient voté en faveur de l'épiscopat féminin.
La réponse du fidèle: parce que le synode et le Parlement ont une autorité supérieure à la Bible?
La réponse délirante que l'ecclésiole anglicane semble donner à cette question nous en dit long sur son état.
Bucer
Commentaires
N'est-ce pas à la suite de débats que le synode de l'église d'Angleterre a pris la décision d'ouvrir le ministère aux femmes dont cette ordination à l'épiscopat est l'épilogue prévisible ? En effet, quand certains tiennent par dessus tout à introduire dans l'église une pratique qu'ils savent, en leur for intérieur, en flagrante contradiction avec la Parole de Dieu, ils suscitent un débat, pitoyable substitut de l'autorité des saintes Ecritures. Il s'ensuit que par cette procédure qui tient plus du coup de force que de la sagesse chrétienne (2 Tim. 3.15), ils finissent par imposer à tous leurs décisions scélérates à la table des débats. En conséquence, qu'ils s'abstiennent de s'y asseoir ceux et celles qui pensent que la gouvernance de l'église ne doit être soumise qu'à la seule Parole du Seigneur (Ps. 26.4 ; Eph. 5.11). Leurs chaises vides seront éloquentes pour eux !