Que faire?
Sans religion, pas de 11 septembre 2001! Pas de croisades! Pas de terroristes talibans, etc;
Ce discours, nous l'avons tous entendu.
Que vaut-il?
Sans doute autant que si l'on disait que, sans athéïsme, pas de Lénine, de Staline ou de Pol Pot.
Une fois que nous aurions ainsi rasé le monde des convictions en ce qui concerne la divinité, resterait l'amour, l'eau, la propriété privée, les différentes couleurs de peau, les opinions politiques et bien d'autres choses semblables, qui ont pas mal de sang sur les mains:
crimes passionnels, dépressions et suicides pour le premier cas;
épouvantable carnage rendu nécessaire par la lutte pour la survie (si chère aux darwinistes) dans le second cas;
inégalités, jacqueries, révoltes, brigandages dans le troisième cas;
génocides purs et simples dans le quatrième;
guerres civiles dans le dernier cas...
Sauf que l'homme "doit" aimer, mager, boire, posséder ses biens; il a une couleur de peau, a des origines, une culture, des ancêtres, et doit s'impliquer dans la vie de la cité.
Alors, que faire?
Abolir l'homme? Le démembrer morceau par morceau jusqu'à ce qu'il ne bouge plus et ne soit plus un "danger potentiel"?
Jésus Christ priait; ce n'était pas le cas de tous les criminels du XXe siècle. Si les athées veulent poursuivre avec leur raisonnement, il leur faudra bientôt penser à recevoir le baptême!
Ce discours, nous l'avons tous entendu.
Que vaut-il?
Sans doute autant que si l'on disait que, sans athéïsme, pas de Lénine, de Staline ou de Pol Pot.
Une fois que nous aurions ainsi rasé le monde des convictions en ce qui concerne la divinité, resterait l'amour, l'eau, la propriété privée, les différentes couleurs de peau, les opinions politiques et bien d'autres choses semblables, qui ont pas mal de sang sur les mains:
crimes passionnels, dépressions et suicides pour le premier cas;
épouvantable carnage rendu nécessaire par la lutte pour la survie (si chère aux darwinistes) dans le second cas;
inégalités, jacqueries, révoltes, brigandages dans le troisième cas;
génocides purs et simples dans le quatrième;
guerres civiles dans le dernier cas...
Sauf que l'homme "doit" aimer, mager, boire, posséder ses biens; il a une couleur de peau, a des origines, une culture, des ancêtres, et doit s'impliquer dans la vie de la cité.
Alors, que faire?
Abolir l'homme? Le démembrer morceau par morceau jusqu'à ce qu'il ne bouge plus et ne soit plus un "danger potentiel"?
Jésus Christ priait; ce n'était pas le cas de tous les criminels du XXe siècle. Si les athées veulent poursuivre avec leur raisonnement, il leur faudra bientôt penser à recevoir le baptême!
AUGUSTINUS