2e dimanche de l'avent (2018)

Romains 15: 4-13:

Or, tout ce qui a été écrit d'avance l'a été pour notre instruction, afin que, par la patience, et par la consolation que donnent les Écritures, nous possédions l'espérance. 
 
Que le Dieu de la persévérance et de la consolation vous donne d'avoir les mêmes sentiments les uns envers les autres selon Jésus Christ,
afin que tous ensemble, d'une seule bouche, vous glorifiiez le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ.
Accueillez-vous donc les uns les autres, comme Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu.
Je dis, en effet, que Christ a été serviteur des circoncis, pour prouver la véracité de Dieu en confirmant les promesses faites aux pères,
tandis que les païens glorifient Dieu à cause de sa miséricorde, selon qu'il est écrit:

C'est pourquoi je te louerai parmi les nations, Et je chanterai à la gloire de ton nom.
Il est dit encore: Nations, réjouissez-vous avec son peuple!
Et encore: Louez le Seigneur, vous toutes les nations, Célébrez-le, vous tous les peuples!
Ésaïe dit aussi: Il sortira d'Isaï un rejeton, Qui se lèvera pour régner sur les nations; Les nations espéreront en lui.
Que le Dieu de l'espérance vous remplisse de toute joie et de toute paix dans la foi, pour que vous abondiez en espérance, par la puissance du Saint Esprit!


SEIGNEUR béni, qui as voulu que toute l’Écriture sainte fût écrite pour notre instruction; fais-nous la grâce de pouvoir l’écouter, la lire, la méditer, l’apprendre, et nous en nourrir intérieurement, de telle sorte que par la patience et par la consolation de ta sainte Parole, nous soyons établis et affermis pour toujours dans l’espérance bienheureuse de la vie éternelle, que tu nous as donnée en notre Sauveur Jésus-Christ. Amen.

Commentaires

Anonyme a dit…
QUE SERIEZ-VOUS

SANS JÉSUS-CHRIST?

Montauban, Noël 1843.




Adolphe Monod




QUE SERIEZ-VOUS

SANS JÉSUS-CHRIST?

< Vous étiez en ce temps-là hors de Christ. >

(Eph. Il, 12.)




Nous le disons donc au

monde clairement, naturellement, sincèrement. Christ

de moins, et nous sommes perdus. Christ de moins, et

notre mort, c'est le désespoir; et notre sentence, c'est

la condamnation; et notre séjour, c'est l'enfer; et notre

société, c'est le démon avec ses anges; et notre par

tage, c'est une affliction éternelle. Cette considéra

tion domine tout, absorbe tout, et c'est la seule que

présente à ses lecteurs notre apôtre, développant lui

même sa pensée : « Vous étiez en ce temps-là hors

« de Christ sans espérance et sans Dieu dans le

« monde »


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