Cours d'auto-défense théologique (3)
Les parties vitales: les
dogmes!
Coucou les
amis ! C’est encore moi !
Si vous avez lu les
messages de cette série depuis le début, vous savez maintenant que le meilleur
est de faire simple.
J’insiste
là-dessus !
Ne jouez pas les
académiciens et surtout (évidemment !) n'employez jamais un argument que
vous maîtrisez mal :
-- non seulement
cela pourrait se retourner contre vous, mais encore, votre interlocuteur risque
de ne pas bien suivre le fil de votre démonstration. Car, en définitive, quand
bien même vous seriez un Jean Calvin en herbe (bravo!), vous n'avez en face de
vous qu'un simple mortel (lol).
Voyons à présent
notre « leçon » du jour:
Face à un
hérétique qui cherche à vous "convertir", vous êtes en train
d'affronter un instrument de Satan qui veut tuer votre âme.
Dans ces conditions,
prenez garde à ne pas vous disperser. Votre but est de protéger vos
organes vitaux, à défendre le dogme, ce qui est essentiel au salut. On ne doit discuter de rien d'autre!
Si votre
interlocuteur pense qu'il y aura 144.000 personnes au ciel, c'est n'importe
quoi, mais ce n'est pas de ça qu'il faut traiter dans l'immédiat.
Ce vers quoi il faut
porter la discussion, l'effort, c'est sur des questions comme la Trinité,
l'Incarnation, la Rédemption, bref, sur la question de savoir qui est
Jésus-Christ (dans son origine, son être, son œuvre) et pas sur des
questions secondaires ou moins graves.
Car c’est de cette question –et de la réponse,
de l’acte de foi, qu’on y donne-- que dépend le salut (à C’est sur la foi apostolique relative à
Jésus-Christ, qu’est fondée l’Eglise, Église contre laquelle les portes de
l’enfer ne prévalent pas !)
Donc, faites
simples, et « frappez » là où ça en vaut la peine. Retenez bien cela,
ce sera important pour la suite !
A bientôt !
Bucer
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