“ Le juste vivra par la foi” (Romains 1: 17) Après le sixième concile œcuménique (VIIe siècle). Depuis leur entreprise de justifier le culte des images (conciliabule de Nicée, en 787), à quoi les Églises franques s'étaient d'ailleurs opposées (notamment lors des synodes de Francfort, en 794 et de Paris, en 829, etc.), les membres de l'antique pentarchie (Rome, Constantinople, Alexandrie, Antioche, et Jérusalem) ne firent plus que se déchirer, à l'instar du Royaume dont Roboam avait hérité du fait de l'idolâtrie de son père, Salomon. Après des années de confusions et de querelles, d'incapacité à s'entendre sur un nouveau concile, ce fut le schisme de 1054, jamais résolu. Resté seul patriarcat en Occident, Rome, dont le prestige éblouissait les âmes, ajouta à tous ses crimes celui de priver les âmes, par les fausses doctrines qu'elle forgeait, de l'assurance et de la paix que procure le saint Évan...
Commentaires
Bien sûr que même en changeant les mots, l'hérésie reste la même ! Décidément, la vérité est insupportable aux papistes ! Cette bourde démontre aussi leur puissance puisque le grand quotidien a dû corriger sa « faute ». On ne nous dit pas ce qu'il est advenu du journaliste. Les galères peut-être... beaucoup y furent enchaînés pour moins que cela ! C'est que quand Rome fait les gros yeux, cela peut être douloureux. La manière de s'y prendre va de la « charitable » pression à l'élimination physique pure et simple du responsable d'un « faux-pas ». La coercition violente est une « spécialité maison » que le pape actuel ne peut ignorer. Souvenons-nous, en effet, de Jean-Paul Ier qui est mort subitement alors qu'il voulait mettre de l'ordre dans les finances du Vatican. Certains avancent que sa mort ne fut pas naturelle, qu'une nonne attachée à son service lui aurait servi une tisane sur les coups des onze heures et que, l'ayant bue, il s'en trouva tout occis. L'actuel pape devrait donc vraiment se méfier des tisanes car sa situation est préoccupante. Qu'on en juge par un seul exemple : pour les modernistes, il a donné trop de gages aux traditionalistes en autorisant par un motu proprio la messe en latin selon le rite de Pie V mais pour les adeptes de cette messe tridentine l'accord reste encore insuffisant. Le résultat de toutes ces misères et de bien d'autres encore est évident : personne n'étant satisfait, le ressentiment augmente dangereusement, d'où le risque pour lui de passer de vie à trépas en dégustant bien benoîtement d'ailleurs, c'est le cas de le dire, sa tisane du soir. Car il faut le savoir : au Vatican, la verveine tue ! Comme il faut avoir l'oeil à tout et se méfier de tous, il n'est vraiment pas drôle d'être pape aujourd'hui !
Faut-il qu'ils soient naïfs au Figaro pour imaginer qu'une atteinte à la célébration de l'assomption ait pu passer inaperçue! Alors, au point où nous en sommes dans le marécage de leurs hérésies, et voyant ce pape entouré d'adversité, ne pouvons-nous pas faire preuve malgré tout de compréhension à son égard en lui souhaitant de vivre d'une humeur joyeuse et sans contrariété tous ses futurs 15 août ? Et si par grand malheur il devait quand même se faire estourbir par un breuvage suspect, on aimerait apprendre qu'un bon chianti de derrière les fagots a été préféré à une tisane de nonne à la saveur douteuse (je parle de la tisane)...
P.S. A tout prendre, je préfère encore la facture classique de l'idole de la grotte. Je trouve que l'idole argentée fait trop pub pour un produit à reluire.